18 octobre 2011

Dérives sociales

Petit travail d'expression plastique de l'an dernier, le travestisme.
Incarner 5 personnages, et les présenter selon la ligne conductrice choisie.

Voici donc mon portrait de famille.
J'ai longuement hésité à censurer le personnage de gauche pour des raisons évidentes.
Cependant je trouvais dommage d'enlever un des 5 personnages...
J'espère donc que vous ne verrez aucune propagande quelconque dans ce travail, le but est simplement d'illustrer avec humour (pas du goût de tout le monde, ce que je conçois tout à fait) ce que j'aime appeler des dérives sociales, de degrés différents.

Aristo

Un petit mot sur l'un de mes photographes préférés, Cécil Beaton.


Il s'agit tout simplement de l'un des plus grands photographes anglais ayant sévit au XXe siècle, très convoité par la noblesse anglo-saxonne, il est vite sollicité par toute la crème de la jet set.
Marilyn Monroe, Audrey Hepburn, Grace Kelly, Franck Sinatra, Orson Wells, Mick Jagger, la reine d'Angleterre, Andy Warhol, Francis Bacon, Keith Richard, rien que ça!
Sa renommée le mènera à réaliser de nombreuses couvertures pour le magazine Vogue. Il est également le designer des vêtements du film My Fair Lady avec Audrey Hepburn.


La première fois que j'ai posé les yeux sur un de ses clichés j'y ai vu des photographies pleines de fraîcheur rehaussées par des mises en scènes baroques, un véritable coup de foudre pour le travail de ce dandy de la photographie.










Chen Man Part II

Je vais m'étaler un peu sur Chen Man dont j'ai parlé dans l'article précédent.
Non seulement il s'agit d'une virtuose du photoshopage mais en plus cette photographe est une des références émergente dans le milieu de la mode.








En voyant certaines photos je n'ai pas pu m'empêcher de faire le rapprochement avec celles de l'illustre Man Ray.




A l'air du numérique

On reste en Asie avec Chen Man, une jeune photographe chinoise.
Mon coup de coeur du jour.
Tout de suite j'ai été frappée par l'énergie qui émane de ses clichés et sa maîtrise de la retouche numérique.
Cette technique poussée à l'extrême (pourquoi se cacher quand on peut obtenir de tels résultats!) donne un petit côté SF que je trouve assez plaisant.
Ca me donne envie de m'y mettre...
Une technique à proposer d'étudier en cours d'info?





Don't be a drag, just be a queen

En pleine recherches pour mon dossier d'AVA sur Nobuyoshi Araki, je suis tombée sur une série assez surprenante.
Pour résumer la démarche d'Araki (et j'en connait un petit rayon maintenant, merci Mme Victore):
Le rapport étroit entre le sexe et la mort, les femmes et les fleurs, le "roman du je"...
(Je vous en dirai plus dans un prochain article)
Parmi les travaux les plus connus de ce célèbre photographe japonais, on ne peut pas passer à côté des clichés de femmes ligotées à la manière du bondage (ou alors vous le faites exprès, si, si...).
Des photographies empreintes d'un fort érostisme à la sauce nippone qui n'ont pas échappées à la reine du buzz, Lady Gaga qui a posé sous les directives du photographe pour la version japonaise de Vogue Hommes.
Une rencontre assez intéressante selon moi, cependant j'ai du opérer une petite sélection pour des raisons de descense, les intéressés iront donc mener leur petites recherches ;)




17 octobre 2011

Portraits part II

Toujours en pleine divagation 3.0, une série de portraits (dont je ne connaît pas l'auteur) qui m'a vraiment rappelé le travail de Matin Schoeller.
Le concept reste le même des portraits serrés, pris à l'aide d'un téléobjectif mais cette fois si, ceux d'illustres inconnus photographiés au fil des rencontres.
Le photographe à su capter la force se dégageant de chacun de ces modèles en mettant en valeur leurs particularités faciales et pourtant, pas d'éclairage artificiel ni de studio, les cliché sont pris dans la rue et composés avec l'éclairage déjà existent.
Le résultat n'en est que plus bluffant.








Star Mania

En quête d'inspiration pour un projet de portraits en train de mijoter, je suis tombée sur ces photographies de Martin Schoeller.
Un cadrage serré, un éclairage puissant, Martin Schoeller va à l'essentiel en captant directement l'essence de ses modèles.
Chaque trait est accentué, révélant alors une beauté brute d'une intensité qui me laisse complètement baba...
La force de ces portrait n'a pas non plus échappé à la crème du Show Business qui se bouscule aux portes de son studio pour se faire tirer le portrait...
Plutôt paradoxal quand on pense à l'obsession de conserver une image lisse et sans défauts de ses personnalités publiques.
La perfection dans l'imperfection, une très belle (et habile) façon d'inverser la vapeur...








Méduses

Juste magnifique.





Cartoons

De quoi se distraire un peu.