Toujours en pleine divagation 3.0, une série de portraits (dont je ne connaît pas l'auteur) qui m'a vraiment rappelé le travail de Matin Schoeller.
Le concept reste le même des portraits serrés, pris à l'aide d'un téléobjectif mais cette fois si, ceux d'illustres inconnus photographiés au fil des rencontres.
Le photographe à su capter la force se dégageant de chacun de ces modèles en mettant en valeur leurs particularités faciales et pourtant, pas d'éclairage artificiel ni de studio, les cliché sont pris dans la rue et composés avec l'éclairage déjà existent.
Le résultat n'en est que plus bluffant.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire